Les cieux sont d’arches suspendues
Et au-dessus de l’armature d’acier stellaire
Encore creusée de lumière
On ne trouve plus que de la pierre
Voilà ce qu’à trop regarder le zénith
J’ai vu derrière l’horizon nu
Et quitte à oublier l’eau et l’atmosphère
J’ai vu sous la nef une faux camarde
Refléter ses maux mythiques
Voici venue la vérité nue
La vie part comme un vœu
Je fus
Écrit en septembre 1995 et publié par Tous A Babylone le 7 mars 2005 sur http://achernar.over-blog.com/article-166480.html.
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