Un matin glacé déployait ses splendeurs sur tous les horizons
La terre d’une blancheur de noces scintillait d’amour
Le ciel bleu s’évanouissait vers l’infini sombre
Un bruit d’air frais caressait la nature
L’or blanc abolissait l’herbe
L’hiver s’ouvrait au monde
Un peu de gel éternel
Un silence d’âmes
Calme
Écrit en mai 1994 et publié par Tous A Babylone le 23 janvier 2005 sur http://achernar.over-blog.com/article-72307.html.
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