La pensée qui fleurit
À l’ombre du matin
Une fragrance qui dort
À l’aube du jardin
L’orbe du déclin
Posée sur le doux bleu
La nuit sur les paupières
L’amie des cimetières
Texte écrit en octobre 2000 et publié par Tous À Babylone le 10 janvier 2005 sur http://achernar.over-blog.com/article-55702.html.
Laisser un commentaire