C’était un puits froid et profond
Ténébreux oracle sans nom
Sur qui s’étaient penchées ici
Une myriade de vies
Si au loin l’été s’était tu
On aurait peut-être entendu
L’écho du peuple des pensées
Qui dans cette eau s’étaient noyées
Texte écrit en 1993 et publié par Tous A Babylone le 12 janvier 2005 sur http://achernar.over-blog.com/article-57647.html.
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