La poésie est une fenêtre
Sur l’au-delà, sur l’inconnu
Et à côté de la fenêtre se trouve
Une porte
Quel nom porte-t-elle pour vous ?
Allez-vous rester la main sur la poignée ?
Si vous passez, pourrez-vous leur dire
De m’attendre ?
Leur dire qu’elles sont belles à cœur fendre
Ces choses inconnues de l’au-delà ?
Texte écrit en février 2000 et publié par Tous A Babylone le 27 décembre 2004 sur http://achernar.over-blog.com/article-41918.html.
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